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La vidéo du jour parle d’une population injustement considérée : les gauchers !

https://www.youtube.com/watch?v=zT1avZJB-_M

Si jamais vous vous posiez la question, eh bien non, je ne suis pas gaucher. Mais j’en ai plusieurs autour de moi, et je me sens donc en empathie avec eux, qui doivent sans cesse s’adapter à un monde conçu pour les droitiers, comme en témoigne d’ailleurs cette tasse avec l’anse à droite.

laserNotre cerveau est sans nul doute la machine la plus complexe qui soit. Il faut dire que chez nous les humains, on y trouve pas loin de 100 milliards de neurones, reliés entre eux par près d’un million de milliards de connexions.

Pas étonnant que l’on ait du mal à comprendre comment fonctionne ce satané cerveau !

Et pourtant depuis une dizaine d’années, une technique nouvelle est apparue, qui est peut-être en passe de révolutionner les neurosciences : l’optogénétique.

Dernière rediffusion de l’été, car je n’ai pas eu le temps d’écrire un nouveau billet. Mais aussi parce que j’ai pu tester cette méthode pendant mes vacances, et ça marche pas mal ! Alors rendez-vous en fin d’article pour le récit de la manip !

Les vacances ont commencé et certains d’entre vous auront peut-être la chance de visiter des contrées lointaines. Pour ceux qui iront vraiment loin, vous subirez éventuellement un décalage horaire significatif.

Peut-être seriez-vous alors intéressés pour tester cette solution proposée dans Science par Clifford Saper, professeur de neurologie à Harvard : pour éviter le jet-lag, il vous faudra jeûner pendant 16 heures !

c_elegansCette semaine, du 11 au 17 mars 2013, c’est la Semaine du Cerveau ! Pour célébrer l’occasion, les blogueurs du C@fé des Sciences ont décidé de se creuser les méninges, et de proposer une semaine thématique concernant notre (deuxième) organe préféré.

Comme je vous ai déjà parlé d’Einstein la semaine dernière, j’ai décidé d’en prendre le contrepied, et de vous entretenir cette fois du plus petit cerveau du monde : celui d’un minuscule ver appelé Caenorhabditis Elegans.

L’état végétatif est un état physiologique encore très mal compris. Il se rencontre à la suite de traumatismes crâniens ou au sortir d’un coma. On peut le définir comme un état éveillé, mais sans aucune manifestation volontaire ou consciente.

Grâce à des techniques récentes d’IRM, on a pu se rendre compte que pour certains patients, l’état végétatif pouvait présenter une activité cérébrale qui se rapproche de celles d’un état de conscience minimale, voire même jusqu’à entamer un début de communication avec eux !

Ces découvertes vont peut être nous amener à devoir réviser la notion d’état végétatif.

Encore une rediffusion, la dernière de l’été 2012, après je m’y remets sérieusement !

Il y a quelques semaines, je vous avais parlé de la théorie des jeux, à travers l’exemple du dilemme du prisonnier. Et j’ai bien fait ! Car cela va me permettre d’aborder aujourd’hui un thème fascinant à l’interface entre biologie, sciences sociales et économie : la neurobiologie de la confiance envers les autres.

On ne compte plus le nombre de livres ou de personnes qui vous vantent les bienfaits de la méditation. Depuis plusieurs années, une équipe conjointe de l’université de Dalian en Chine et de l’université d’Oregon aux USA tente de mettre en évidence, de manière scientifiquement rigoureuse, les bienfaits de la méditation .

Alors pour se faire une idée sur la question, voici un petit tour d’horizon de quatre de leurs papiers les plus importants, qu’on peut penser plutôt sérieux car tous publiés dans la prestigieuse revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Science).

Nous avons coutume de penser que nous sommes libres de décider et de choisir nos actes. Et pourtant, une série d’expériences de neurosciences jettent un doute sur ce qu’on a l’habitude d’appeler notre libre-arbitre.

Même si elles sont largement débattues, tant du point de vue de leurs résultats scientifiques que de l’interprétation philosophique qui en est donnée, ces expériences sont pour le moins…troublantes ! Aujourd’hui au menu : neurologie, sciences sociales et philosophie !

A l’ère d’Internet, on peut se demander à quoi sert encore notre mémoire, puisque quelques clics suffisent à retrouver à peu près n’importe quelle information. A partir d’expériences contrôlées, des chercheurs américains ont justement pu montrer comment les technologies de l’information modifient notre processus de mémorisation.

Si les résultats sont relativement convenus, l’une de ces expériences m’a paru particulièrement intéressante.

Les vacances ont commencé et certains d’entre vous auront peut-être la chance de visiter des contrées lointaines. Pour ceux qui iront vraiment loin, vous subirez éventuellement un décalage horaire significatif.

Peut-être seriez-vous alors intéressés pour tester cette solution proposée dans Science par Clifford Saper, professeur de neurologie à Harvard : pour éviter le jet-lag, il vous faudra jeûner pendant 16 heures !