Il y a quelques jours, Facebook a proposé à ses membres américains et britanniques une option leur permettant d’ajouter à leur statut la mention « donneur d’organes ». Rien qu’en France, plus de 15 000 personnes chaque année sont en attente d’un don, et seulement environ un tiers de ces greffes peuvent être réalisées.
Deux chercheurs en psychologie, Eric Johnson et Daniel Goldstein, se sont penchés sur les mécanismes qui font que l’on choisit ou non d’être donneur d’organe, et notamment l’origine des grandes différences que l’on observe d’un pays à l’autre.
Le résultat est pour le moins surprenant !