640px-Milky_Way_Arch

Après une petite interruption, je continue ma série de billets consacrés aux bases théoriques de la cosmologie.

Résumé de l’épisode précédent : Si vous avez lu mon premier billet sur le Big-Bang, vous savez déjà que l’équation d’Einstein appliquée au cas d’un Univers isotrope et homogène se réduit à une équation différentielle assez simple, l’équation de Friedmann.

\(\left(\frac{da}{dt}\right)^2=\frac{8\pi G\rho_0}{3}\frac{1}{a(t)}\)

Cette équation permet en particulier de décrire le fait que l’Univers est en expansion, ce que l’on constate en observant les galaxies s’éloigner de nous. Grâce aux mesures expérimentales de son taux d’expansion actuel, il est possible de rembobiner l’équation de Friedman pour reconstituer la jeunesse de l’Univers. Et c’est ainsi qu’on en arrive à l’idée du Big Bang, cette période dense et chaude où l’Univers était extraordinairement courbé.

Aujourd’hui nous allons nous intéresser non pas au passé mais à l’avenir de notre Univers, et voir en quoi son destin est irrémédiablement lié à sa forme. Et pour ça, il faut d’abord vous avouer que je vous ai menti sur l’équation de Friedmann. La version que je vous ai donnée est en réalité incomplète, et voici pourquoi.

La courbure de l’Univers

Je vous ai dit dans l’épisode précédent que si l’Univers est homogène et isotrope, on peut se contenter de le décrire en spécifiant son facteur d’échelle \(a(t)\), qui mesure de combien l’Univers est dilaté ou contracté par rapport au temps présent. Mais j’ai caché quelque chose sous le tapis : il existe un paramètre supplémentaire à considérer.

En effet si on suppose un Univers homogène et isotrope, cela implique notamment que la courbure de l’Univers est nécessairement la même en tout point de l’espace (sinon il ne serait pas homogène !). Mais cela n’oblige pas à ce que cette courbure soit nulle.

Pour décrire l’état de l’Univers à un instant donné, cela laisse trois possibilités :

  • Une courbure spatiale homogène positive : on dit que l’Univers est sphérique ;
  • Une courbure spatiale homogène négative : l’Univers est dit hyperbolique ;
  • Une courbure nulle partout : l’Univers est plat.

Il n’est pas très facile de se représenter ce que sont ces espaces tridimensionnels, alors on utilise souvent des images de leurs analogues en 2 dimensions. Un espace sphérique est comme la surface d’une sphère, un espace hyperbolique ressemble plutôt à une selle de cheval infinie.courbures

 

Notez que dans le cas sphérique, l’Univers est nécessairement de taille finie (mais sans bords !) tandis que dans les deux autres, il est forcément de taille infinie.

(PS 1 : j’en profite pour glisser qu’il est parfaitement possible en mathématiques de décrire des espaces courbes sans forcément faire appel à une dimension supplémentaire ! Dire que l’Univers se décrit comme un espace courbe n’implique pas qu’il existe une dimension dans laquelle il serait courbé !)

(PS 2 : en maths il me semble qu’on décrit souvent ces espaces comme étant « à courbure constante », mais comme en physique le terme constant signifie souvent « constant dans le temps », je préfère dire « homogène » pour dire « constant dans l’espace ». Par ailleurs ici, je néglige les cas associés aux topologies non-triviales, comme par exemple le le tore ou le dodécahèdre)

Sans le dire, dans le billet précédent, j’ai implicitement adopté la troisième hypothèse (espace plat). Dans le cas le plus général, il faut donc ajouter un paramètre supplémentaire dans notre description de l’Univers qui est \(R_0\), son rayon de courbure au moment présent.

Muni de ce petit changement, si l’on remouline l’équation d’Einstein, on trouve la véritable équation de Friedmann complète

\(\left(\frac{da}{dt}\right)^2=\frac{8\pi G\rho_0}{3}\frac{1}{a(t)} \pm \frac{c^2}{R_0^2}\)

Ou le – est pour le cas sphérique et le + pour le cas hyperbolique.

Si l’on veut connaître le destin de l’Univers à partir de cette équation, on peut la résoudre comme un bourrin. Sinon, on peut lancer des cailloux.

Lancer de cailloux

Faisons un petit détour par un problème en apparence beaucoup plus simple que le destin de l’Univers  : celui d’une pierre qu’on lancerait en l’air verticalement depuis la surface de la Terre. Une manière de décrire ce problème, c’est de considérer les énergies qui interviennent : l’énergie cinétique et l’énergie potentielle de pesanteur

Si \(x(t)\) désigne la distance entre la pierre et le centre de la Terre au temps \(t\), l’énergie potentielle de pesanteur est égale à

\(-\frac{mMG}{x(t)}\),

où m est la masse de la pierre, M celle de la Terre et G la constante de gravitation universelle. De son côté, l’énergie cinétique est simplement égale à

\(\frac12 m v^2 = \frac12 m\left(\frac{dx}{dt}\right)^2\)

En mécanique l’énergie totale est conservée, donc si on écrit que la somme de l’énergie cinétique et de l’énergie potentielle de gravité est égale à une constante C, on obtient

\(\frac12 m\left(\frac{dx}{dt}\right)^2 – \frac{mMG}{x(t)} = C\)

que l’on peut récrire

 \(\frac12 m\left(\frac{dx}{dt}\right)^2 = \frac{mMG}{x(t)} + C\)

Vous ne trouvez pas qu’il y a une très forte similitude avec l’équation de Friedmann qui régit l’évolution du facteur d’échelle ?

Eh bien si, remplacez \(a(t)\) par \(x(t)\) et c’est en gros la même ! Donc interpréter l’équation de Friedmann n’est pas différent d’interpréter l’équation qui régit le mouvement d’un caillou jeté en l’air.

Destin de l’Univers

Pour savoir ce que sera le destin de l’Univers, on peut se référer à ce qu’il peut se passer pour notre pierre. Si vous la lancez initialement avec une force modérée, elle va s’élever, atteindre une hauteur maximum puis retomber. Cela correspond au cas où la constance C est négative. Au contraire si vous la lancez fabuleusement fort, elle pourra s’arracher à l’attraction terrestre et s’en aller dans l’espace, c’est le cas où la constante C est positive. Enfin on peut aussi envisager le cas C=0, qui est celui où vous balancez votre pierre avec juste la force nécessaire pour l’arracher de la surface.

pierre

Si on revient à l’équation qui décrit l’évolution du facteur d’échelle, on voit qu’il se passe la même chose, sauf que c’est la courbure de l’Univers qui joue le rôle de la constante C. Si l’espace est sphérique, la constante est négative. Le facteur d’échelle \(a(t)\) atteindra alors un maximum et l’Univers finira par se recontracter sur lui-même et finir dans ce qu’on appelle un Big Crunch. Tandis que si l’espace est hyperbolique, la constante sera positive et l’Univers partira en expansion éternelle : c’est le Big Chill (grand refroidissement).

univers

Ce qui est fascinant dans cette histoire, c’est que le destin de l’Univers est intimement lié à sa forme : si l’Univers est sphérique et fini, il finira en Big Crunch ; s’il est hyperbolique et infini, il s’étendra pour toujours et finira en Big Chill.

Je trouve ça incroyable que ces deux questions fondamentales sur l’Univers (est il fini ou infini ? / comment finira-t-il ?) ne soient en fait qu’une seule et même question. Pour ma part, j’ai toujours du mal à l’admettre !

Et dans le prochain billet, nous verrons pourquoi tout cela a volé en éclat en 1998…

Photo : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Milky_Way_Arch.jpg

38 Comments

  1. « j’en profite pour glisser qu’il est parfaitement possible en mathématiques de décrire des espaces courbes sans forcément faire appel à une dimension supplémentaire ! » justement, en mathématiques! Mais la réalité est autre chose et ces mathématiques font ensuite abstraction d’un espace de plongement fictif dont elles se sont servies auparavant pour se construire.
    Si on refuse la dimension supplémentaire, on devrait alors plus humblement et simplement annoncer qu’un rayon de lumière supposé voyager à l’infini, suivrait un trajet ayant l’allure globale d’une droite (courbure nulle), d’une parabole ou d’une hyperbole (courbure inférieure à zéro) ou d’un cercle recouvrant ses points d’arrivée et de départ (courbure supérieure à zéro), sans déranger pour cela la notion d’espace dans son entièreté dans le monde réel. Bien sûr, après il faudra ajouter que nul espace se courbe mais que : ou c’est le rayon à être courbé ou le milieu (éther) dans lequel il voyage à être courbé… dans l’espace classique comme axiome le désigne.

  2. Bonjour et merci pour ce billet.
    N’est-il pas possible d’avoir un univers « plat » mais fini en supposant qu’il ait la forme d’un tore?

    • David Reply

      Tout juste ! C’est pour ça que dans un des PS je précise qu’on va se contenter de regarder les topologies triviales. Il y a eu aussi une proposition assez sérieuse selon laquelle l’Univers pouvait être un dodécaèdre, ce qui donne une courbure assez légèrement positive, qui semble compatible avec ce qu’on observe.

  3. C’est peut-être une question stupide mais l’énergie potentielle de pesanteur c’est pas mg*x(t) plutôt?

    • David Reply

      Non ça n’est pas une question stupide !

      La véritable expression de l’énergie potentielle de pesanteur, c’est celle que je donne, où x désigne la distance au centre de la Terre.

      Si on approxime cette expression pour des petites altitudes h proches de la surface, on obtient mGM/(R+h) où R est le rayon de la Terre. Maintenant comme c’est de l’énergie, on peut toujours choisir de changer de point de référence et de prendre h=0 (la surface) plutôt que l’infini, et soustraire mGM/R
      On obtient alors
      mGM/(R+h) – mGM/R
      et si on mouline ça et qu’on pose que g=GM/R, on obtient l’expression habituelle mgh.

      • Je ne comprends pas trop car si on approxime pour h proche de 0 je trouve mGM/(R+h) – mGM/R=mGM/(R(1+h/R))-mGM/R=(mGM/R)(1-h/R)-mGM/R=-(mGM/R)*(h/R)= -(mGM/R²) et je trouve g=-mGM/R². Peut etre que je me trompe dans le calcul ?

  4. « Ce qui est fascinant dans cette histoire, c’est que le destin de l’Univers est intimement lié à sa forme : si l’Univers est sphérique et fini, il finira en Big Crunch ; s’il est hyperbolique et infini, il s’étendra pour toujours et finira en Big Chill. »

    Et s’il est plat, alors ? Il ne finira jamais ?

  5. Très intéressant comme d’habitude… Par contre j’ai du mal à comprendre pourquoi l’univers DOIT nécessairement avoir une courbure (même nulle). Localement, soit ! J’ai bien compris l’image de la bille sur le drap tendu. Mais pourquoi une courbure globale? Le drap n’est pas tendu finalement?

  6. Pingback: Cosmologie 2 : forme et destin de l’Unive...

  7. Si vous lus mon premier billet sur le …

    Il manque clairement un mot entre « vous » et « lus »

    En passant l’article est tres passionnant,j’aime!

    [Corrigé, merci ! – D.]

  8. « ces deux questions fondamentales sur l’Univers est il fini ou infini ? »
    Une courbure nulle espace plan (Univers plat) soit un Univers infini. Je trouve que le terme infini dans ce cas porte vraiment à confusion, il me semble que le terme POTENTIELLEMENT INFINI est plus judicieux. Si on parle d’Univers vraiment infini, il n’y a pas de début d’Univers, il a toujours existé, pas de big bang ! De ce fait fini ou infini ? C’est un peu la même chose, dans un Univers en expansion l’infini c’est du fini qui gonfle indéfiniment. Mais ce n’est surtout pas l’infini de l’Univers statique d’Einstein (au début de ça constante cosmologique) cet Univers qui a toujours existé sans début, sans histoire. Enfin c’est mon humble vision des choses.

  9. Je souhaite faire une petite comparaison assez parlante pour mieux expliquer les propos contenus dans mon premier commentaire, su ce billet, paru en réponse au post-scriptum n° 1 de David (qui n’était pas sans me communiquer un certain sentiment de polémique…).
    Oui, mathématiquement est bien possible de prévoir, par exemple, l’existence des nombres négatifs et de les traiter par calcul. Appliquons maintenant cette affirmation à la température, donc à une réalité cette fois bien physique et non mathématique (ou abstraite) : y a-t-il de températures négatives dans l’absolu ? Non ! Toute température absolue va du zéro absolu au dessus. On ne peut pas aller au-dessous du zéro absolu ni même pas l’atteindre, chose bien connue. Cependant le monde de nombres négatifs est bien là et si l’on se bornait à une échelle relative de température, comme celle Celsius (ou l’autre Fahrenheit), on pourrait bien croire que les mathématiques des nombres négatives, existant bien avant l’invention du thermomètre de Celsius, aient pu prédire l’existence physique des températures négatives. Eh bien non ! Pas de températures réellement négatives mais juste une convention pour celles dites négatives (la glace pure fondante au niveau de la mer prise comme référence d’un zéro virtuel et pas réel). Pareillement, je crois fortement qu’avec la notion de chronotope, c’est-à-dire : espace-temps, relatif selon Einstein, bien de savants soient en train de se leurrer comme si l’on prenait l’échelle Celsius telle que véritable échelle de température absolue alors qu’elle ne l’est pas. Car le vrai espace-temps est absolu et rejette les mathématiques de courbement sans plongement (ou riemanniennes), tout comme la température absolue rejette les mathématiques des nombres négatifs. Seule issue : une improbable quatrième dimension qui pourrait sauver les mathématiques riemanniennes de leur abstraction en leur trouvant finalement une contrepartie réelle dans le monde physique quadridimensionnel au sens spatial (issue concernant donc l’espace mais pas forcément aussi le temps). Voilà pourquoi j’insiste à dire : ou l’on espère dans une quatrième dimension au demeurant très ardue à concevoir (conflit avec les trois déjà conçues), ou bien l’espace-temps en tant que tel, absolu, ne peut pas se courber à la manière montrée par Einstein en suivant les mathématiques de courbure sans plongement.
    Est-ce désormais clair à la fois pour David et pour tous les autres commentateurs/trices de ce blog ? Y compris certains dérangeurs exprès de la pire espèce qui apparaissent « mystérieusement » lorsque je sors un commentaire sur ce blog… ? Merci.

    Marco

    • « le vrai espace-temps est absolu et rejette les mathématiques de courbement sans plongement » source?

      • La source ? La logique fondamentale appliquée de façon rigoureuse.
        Si vous prenez un espace « E » et vous l’attitrez de « absolu », il ne peut pas se courber ou déformer dans aucune façon. Si en revanche il se courbe, c’est qu’il doit pouvoir déployer cette performance à lui dans ou sur un autre espace « H » de rajout (un hyperespace et/ou une hyper-dimension) par rapport auquel il se courbe. Il en découle que votre espace « E » n’est plus absolu mais relatif, l’espace absolu étant alors celui issu de la somme de « E » plus « H ». Cet espace « E+H » ne peut pas se courber, bien évidemment.
        Cela reste valide a fortiori pour des portions d’espace : la trajectoire courbe de la lumière est une portion d’espace et n’est courbe que par rapport à d’autres portions d’espaces ou par rapport à tout l’espace restant (somme de toutes les portions d’espaces restantes). Ce qui confirme que cette trajectoire courbe de lumière n’est pas un espace absolu puisque espace-portion relatif aux autres espaces-portions. Qui plus est, un espace se courbant localement (donc pas dans sa totalité cosmologique) se comporterait comme une substance ayant ses propres géodésiques (comme l’air a ses isobares, par exemple) et devrait alors recevoir des physiciens/ennes son propre nom de substance et ne pas s’appeler « espace » ; mais celle-ci est une question surtout linguistique (importante), pas vraiment de logique. La logique à elle seule, comme montré plus haut, exclut de façon nette qu’un espace absolu puisse tant si peu se courber… car autrement est un espace relatif à un autre.
        Ce raisonnement est inoxydable.

        Application du raisonnement : nous n’ayant pas pour l’instant d’indice nous alertant que notre espace physique (espace astronomique) soit relatif, dans sa totalité ou dans sa localité, à d’autres espaces ou dimensions, je ne vois pas pourquoi nous ne devrions pas le voir comme absolu et, par conséquence, indéformable. Ce qui, soit dit en passant, mine d’un gros doute la validité physique (non mathématique !) des cogitations contenues dans ce billet.

        Je précise que ce raisonnement se réfère à l’espace et pas (ou pas forcément) au temps aussi. Cela n’enlève rien à sa validité. Le temps pourrait faire l’objet d’un raisonnement similaire, mais je ne m’en suis pas bien occupé. Il suffit de démolir l’espace courbe pour démolir l’espace-temps courbe. Le temps, en outre, peut ne pas être considéré une autre dimension car foncièrement différent, par certaines de ses caractéristiques, vis-à-vis des dimensions classiques qui sont exclusivement spatiales. Mais cette dernière est plutôt une question lexicale (là aussi).

        Marco

      • On peut avoir un espace courbé sans plongement. Pas besoin de dimension supplémentaire. Si on prend un écran de jeu vidéo d’où tous les objets qui sortent par un côté entrent par l’autre, on a un tore sans plongement. Aucune raison que ce soit différent si on « courbe » l’espace-temps de l’écran de façon à ce que les géodésiques ne soient pas des lignes droites. Ce n’est pas parce que ce n’est pas intuitif que votre « simple logique » est vraie. Par ailleurs, l’espace dont on parle ici est l’Espace-Temps. Donc avec une quatrième dimension dont les propriétés ne sont pas identiques aux trois autres.

        • L’écran de l’ordinateur n’est ni un espace absolu mais partiel, car il termine à son périmètre par rapport à son électronique située à l’extérieur qui en détermine aussi les caractéristiques ; ni autosuffisant : pour qu’un objet sortant d’un côté rentre de l’autre côté il doit y avoir une électronique qui ramène artificiellement le bout d’objet sortant d’un côté dans l’autre côté, l’électronique faisant office de boucle (courbement !) grâce à ses connexions avec l’écran ; ni un espace naturel, car ses caractéristiques sont déterminé par un logiciel conçu de l’extérieur de cet espace (par l’espace cérébral de plusieurs hommes/femmes programmateurs). Pour ces trois raisons, et surtout pour les deux premières, ton exemple n’attaque absolument en rien le théorème logique selon lequel un espace absolu ne peut pas se courber ni se déformer ; il n’est pas pertinent.

          Même en voulant considérer le temps comme une dimension, ce qui ne me voit pas d’accord, du moment où l’espace absolu ne peut pas se courber, l’espace-temps absolu, dans son ensemble, ne pourra non plus se courber mais, éventuellement, c’est seulement le temps qui se courbera (ce qui d’ailleurs me semble contraire aux équations d’Einstein). Toutefois personnellement, je préfère les termes « ralentir » ou « accélérer » pour le temps, plutôt que « se courber ».

      • (ce qui implique que l’espace-temps peut être courbe, sans que l’espace le soit)

  10. comparaison très intéressante, merci!
    (par contre il me semble qu’on écrit « dodécaèdre », pas « dodécahèdre »..)

  11. Pingback: L’énergie du vide : la plus grosse erreur de toute l’histoire de la physique [Vidéo] | Science étonnante

  12. Salut les HUMAINS si vous connaissez toutes ces imbrications trouvez des solutions au Mal et de l’Injustice qui pourries ce bas Monde et moi le premier je crierai BRAVO ILE ONT REUSSI !!!

  13. Je respect les scientifiques du monde entier mais attention au ERREURS
    Merci les cervelles grises….

  14. Pingback: Cosmologie 3 : la constante cosmologique | Science étonnante

  15. Pingback: La gravité quantique à boucles | Science étonnante

  16. Bonjour David.

    J’accepte ta proposition et je lance un caillou:

    « Et c’est ainsi qu’on en arrive à l’idée du Big Bang, cette période dense et chaude où l’Univers était extraordinairement courbé. »

    À la condition que Georges LeMaître avait raison et qu’à l’époque du Big bang, l’univers n’était qu’un gros atome matériel de la dimension de la Terre. Sans oublier la nécessité de donner raison également à Newton en acceptant que « les masses s’attirent »; (ce que l’on sait évidemment être faux; mais bon…)

    Par contre, ce n’est pas du tout ce que le satellite PLANCK nous a confirmé. Il a spécifiquement confirmé que le Big bang fut suivit d’une période strictement « radiative »; ce qui n’implique, exclusivement, que de l’énergie « radiante »; autrement dit : un « mouvement radiatif » indiquant la simple manifestation « d’énergie cinétique ». Énergie cinétique qui pourra se transformer en toutes les énergies dont vous aurez éventuellement besoin pour décrire l’évolution de l’univers.

    Et comme il n’est pas question de masse ou « d’énergie de masse » dans ce mouvement « radiatif », l’univers de l’époque n’est donc pas déformé du tout, et est tout à fait « plat « à cette époque, tout comme le même satellite a confirmé qu’il l’est toujours, aujourd’hui.

    Finalement, le satellite PLANCK a foutu une bonne raclée à plusieurs de nos « convictions » scientifiques actuelles, je pense; incluant la notion de courbure « autre que nulle » pour l’univers.

    Il est évident que nous observons des courbures « locales » (gravitation) dans l’univers mais il est confirmé que l’univers lui-même n’a pas de courbure et donc, (ouch!) n’est pas assujetti à une gravitation « universelle ». Ce qui change toute nos interprétations cosmologiques actuelles.

    Par contre, l’univers est évidemment une « sphère » puisqu’il s’expand dans tous les sens et toutes les directions. Mais c’est une sphère a topologie « plate ». l’univers n’est pas situé SUR la sphère; il est « à l’intérieur » de la sphère.

    Bon d’accord, je ne lance plus de cailloux. J’apprécie énormément ton sens déductif basé sur les prémisses que tu adoptes, mon cher David. Ton raisonnement est absolument impeccable. À mon sens, ce sont les prémisses qui sont fautives et non pas ton raisonnement.

    Amicalement.

  17. Pingback: D’après Aurélien Barrau, Univers multiples. La gravitation quantique chapitre 9) | Thomassonjeanmicl's Blog

  18. Pingback: Le rayonnement cosmologique | Science étonnante

  19. Michel Fleury Reply

    21 Janvier 2017
    On observe des étoiles au pole nord et au pole sud. Alors l’univers n’est pas plat comme le prétends Einstein. Si l’univers était PLAT nous verrons des étoiles juste dans une zone des pôles.
    IL est midi et je suis en face d’un éclysce lunaire. La lune cache le soleil en face de moi a midi et je voie des étoiles. A minuit au même endroit, le soleil est dans mon dos vue la rotation de la terre et je voie encore des étoiles et vous dites que l’univers est PLAT.
    La terre est incliné et orbite autour du soleil et fait le tour du soleil 365 jours pour un tour complet du soleil.
    La question comment voir des étoiles a tous les nuits vue que j’ai le soleil dans mon dos a tous les nuits et que je voie des étoiles aussi face au soleil quand il y a un éclyse lunaire et que je voie des étoiles quand même. Si l’univers était plat je ne verrais pas des étoiles 365 jours par années.
    Je m’excuse des fautes d’orthographes et les conjugaisons, je n’étais pas bon a l’école.
    J’ai des questions depuis 6 ans.
    L’électricité et notre centrale électrique entre les deux oreilles.
    Nous avons + de 40 millivolts dans notre cerveau qui est de l’électricité.
    L’électricité ne fonctionne JAMAIS de façon aléatoire.
    Ça prends de l’intelligence, de la logique et un savoir pour créer de l’électricité.
    Les barrages d’Hydro Québec te le dise. Ça ne sait pas créer tout seul.
    Ça fait 200 ans que nous avons l’électricité et avant l’électricité était inconnue.
    Comment créer de l’électricité dans un cerveau humain alors que pour créer faut IMAGINER.
    Comment IMAGINER l’électricité sans penser alors que pour CRÉER faut penser.
    Comment IMAGINER sans penser pour créer de l’électricité du premier humain avec un courant électrique dans les deux oreilles.
    Ça prends de l’intelligence, de la logique et un savoir pour créer de l’électricité. Comment créer de l’électricité sans imaginer n’y penser vue que ça prends de l’électricité dans le cerveau pour imaginer et penser.
    Des extraterrestre certain vont dire. Même dilemme
    ILS ont un cerveau avec du courant électrique Eux aussi. Un % électrique Eux aussi dans Leurs cerveau et même dilemme. Ça prends de l’intelligence, de la logique et un savoir pour créer de l’électricité. Comment créer de l’électricité sans imaginer n’y penser vue que ça prends de l’électricité dans le cerveau pour imaginer et penser.
    Les neurones du cerveau le disent. Un charge positif et charge négative qui s’inverse pour chaque neurones qui est de l’électricité.
    Ça dit que L’Oeuf Cosmique EXISTE et que c’est EUX qui ont créer l’électricité dans le cerveau humain.
    J’ai vue un soir de février 2010… Un Oeuf Blanc en face de moi a gauche de moi et Un Oeuf Noir a côté de L’Oeuf Blanc. Il mesure environ 5’ X 3’ tous les deux et Ils sont mince comme une feuille de papier.
    Ils sont le zéro tous les Deux.
    Comme Ils sont opposé un Blanc un Noir et sont le temps et occupe une espace tous les deux.
    Le 0 est le Temps initiale n’y commencement et n’y fin et le 1 est l’espace du 0 dans le temps.
    TOUJOURS JAMAIS SORTIR de LEURS EMPRISE… ILS SONT LE TEMPS.
    Formule du temps
    Le temps est égal au présent
    L’espace occupe un temps présent
    La vitesse est a égal l’espace occupé par le temps présent
    Il n’y en a pas de courbure dans l’espace-temps
    C’est juste du présent. Nous somme présent là ou se trouve notre attention du moment
    0,1 et 1,0 Temps,espace-espace,temps
    Faut toujours avoir a L’ESPRIT.
    Hier es-tu PHYSIQUE…
    Tu ne peux rien changer de ce qui est VÉCU D’Hier.
    C’est juste au présent qui est PHYSIQUE et que nous pouvons changer les choses mal comprise D’HIER.
    Que notre cerveau fonctionne a 20% de sa capacité et qu’il y a 80 % qui nous est inconnue.
    80% d’inconnue c’est énorme et tout ce que je viens décrire, je ne suis même pas en mesure de prouver quoique ce soit.
    IL passe… Il est passée…
    J’ai vue L’Oeuf Blanc en premier et L’Oeuf Noir a côté du Blanc.
    Je me suis dit.. Les deux occupent une espace puis en même temps Ils sont le temps.
    Je me suis dit…
    L’Oeuf Blanc est … Le temps de l’espace.
    L’Oeuf Noir est … L’espace du temps.
    0,1 et 1,0 Temps,espace-espace,temps
    La logique comme toutes énergies.
    Je prends en exemple l’électricité avec un fil blanc et un fil noir.
    Le raisonnement tient la route sur l’énergie… Toujours deux pôles qui s’opposent pour que l’énergie circule.. Comme un fil blanc et un fil noir en électricité.
    Même la Lumière a sont opposée dans l’Univers… Le trou noir qui aspire la lumière a l’autre bout de l’univers.
    Le problème que je rencontre pour réfléchir face a EUX… Quel fil est le mieux vue que ça prends les deux fils pour que l’énergie circule.
    L’Oeuf Noir dégage de la frayeur et n’est pas un doux comme L’Oeuf Blanc.
    Comment les réfléchir… Ils sont opposés.
    MEDITATION…
    Méditer en marchand et ça se pratique partout et en n‘importe quel circonstance …
    Je le fais souvent et je vous explique..
    Pour les non habitués, il s’agit de voir ses pieds avancés un après l’autres avec son MENTAL.
    Les voir ses pieds avancer avec son mental.
    Le mental est sur une ACTION et ne demande pas mieux.
    Aucune pensées ne survient durant que le mental est occupé a visionner les pieds avancés un a la suite a chaque pas.
    Si une pensée survient, il s’agit de redirigé son mental sur ses pieds qui avances a chaque pas..
    Quand nous avons un problème émotionnelle, nous plaçons le problème au premier rand dans nos pensées et souvent il y a aucune solution comme exemple. Nous ne pouvons pas forcer une personne a nous aimées et c’est juste cette émotion qui nous préoccupe et qui nous fait du mal intérieurement en exemple simple a comprendre.
    Nous avons ce problèmes juste quand on y pense. Si on n’y pense pas a ce problème émotionnelle qui préoccupe nos pensées, a la longue et en pratiquant cette méditation en marchand on fini par oublier ou on lui donne moins d’importance a cette émotion qui nous fait du mal intérieurement.
    C’est très plate a faire de visionner ses pieds avec son mental en marchand mais très très efficace. On se rends compte assez vite quand nous avons un problèmes émotionnelle c’est juste quand on y pense que nous avons ce problème émotionnelle.
    Dire ceci a un psychiatre. C’est une perte de revenu pour ce bourreur de pilule. Son même pas assez INTELLIGENT pour comprendre que c’est juste quand tu y pense que sa perturbe nos pensées.
    Ça prends pas un cours universitaire pour comme ça. Si tu n’y pense pas ça ne préoccupe pas nos pensées.
    Quand L’Oeuf a quitter ce soir de février 2010 en partant, il m’a même conseiller de poursuive a méditer de la sorte comme je le fait qu’IL m’a dit et de marcher a ma vitesse.
    Ça vient de Dieu ce conseil et c’est ce qu’on ce dit instinctivement en 5 secondes en sa présence… Qu’il est DIEU.
    Dieu y POURVOIRA qu’ILS DISENT…
    Ça vie dans des CHÂTEAUX ou des domaines LUXUEUX, avec SERVEURS a leurs services et certains domaines remplient D’OR.
    Puis ça prends DIEU comme UN SERVITEUR.
    Dieu n’est pas-là pour te SERVIR comme un ESCLAVE et faire les choses a ta place.
    C’est toi qui doit ÉVOLUÉ et non DIEU pour te SERVIR comme un ESCLAVE pour que tu puisse vive comme un ROI dans ton château LUXUEUX.
    Dieu n’est pas-là pour VIVE A TA PLACE et FAIRE LES CHOSES A TA PLACE.
    C’est toi qui doit ÉVOLUÉ.
    Faites deux Oeufs en cartons un Oeuf Blanc et un Oeuf Noir de 5′ X 3′ qui représente… Les Deux Oeufs que j’ai vues ce soir de février 2010 et je placent mes deux mains sur EUX et JE JURE, ce n’est pas sur une bible que je JURE.
    LES SEPTIQUES SERONT CONFONDUS… DUS… DUS…DUS…
    Je te DÉFIT a JURER SUR L’OEUF qui est bien PRÉSENT sur terre depuis un certain TEMPS. La première fois que L’OEUF entre en contact avec un humain. Si L’Oeuf aurait entrer en contact avant, nous le serions que l’Oeuf EXISTE et mesure 5′ X 3′ et mince comme une feuille de papier tous les deux..
    Du ciel viendra un grand Roi d’effrayeur  »OEUF NOIR  » Ressusciter le Grand Roi d’Angoulmois  » OEUF BLANC  » Avant après Mars régner par bonheur»  »FÉVRIER »
    Malachie… Le JUGE REDOUTABLE… OEUF NOIR et ce n’est pas un DOUX.
    NE JAMAIS DÉFIER L’OEUF NOIR… IL VA TE FAIRE SOUFFRIR.
    Il a juste une règle…
    NE FAIT PAS AUX AUTRES CE QUE TU NE VOUDRAIS PAS QUE LES AUTRES TE FASSE.
    Ils sont le temps comme le code binaire en informatique 0 et 1.
    Le 0 est le temps de l’espace et le 1 est l’espace du temps du 0.
    Formule du temps
    Le temps est égal au présent
    L’espace occupe un temps présent
    La vitesse est a égal l’espace occupé par le temps présent
    Il n’y en a pas de courbure dans l’espace-temps
    C’est juste du présent. Nous somme présent là ou se trouve notre attention du moment
    Présent a lire ceci là maintenant et que tu me lise dans cent ans.
    Tu me lis au présent du 2 juillet 2016. Tu es présent a me lire.
    0,1 Temps,espace = L’Oeuf Blanc
    1,0 espace,temps = L’Oeuf Noir
    0,1 et 1,0 Temps,espace-espace,temps
    Comme ici sur cette page.
    0,1 Un temps a écrire dans cette espace ou cette page… Qui est au présent
    1,0 Puis un espace qui a un temps écrit et qui demeure toujours au temps présent aussi longtemps que cette page n’est pas supprimer.
    Que tu me lise dans cents ans. Tu me lis au présent. Tu es présent de toi même a lire cette page.
    L’Oeuf Cosmique EXISTE. Un positif et un négatif. L’énergie fonctionne ainsi que tu le veule ou pas. Ça prends deux pôles pour que l’énergie circule comme ton propre cerveau. Une charge positif et une charge négatif pour chaque neurones de ton cerveau.
    Bonne réflexion

  20. Gérard Blanvillain Reply

    Nous avons parlé d’espace et d’Univers sans définir ce que l’on appelle l’espace et ce que l’on appelle l’Univers. Alors, soyons clairs :
    L’Univers est constitué des masses, particules, étoiles, ondes et rayonnements qui forment un ensemble.
    Cet ensemble est en expansion dans l’espace qui est un volume infini.
    La première question concerne alors l’espace. Est-il vide ou comporte t-il quelque chose qui ne soit pas déjà quelque chose ?

    La logique serait de dire qu’il est vide.
    Mais si on y réfléchit, un tel espace serait un néant, c’est à dire que l’Univers serait en expansion dans le néant.
    Un néant pourrait avoir n’importe quelle température, ou pas de température du tout puisqu’une température c’est un choc de particules.
    L’observation montre que s’étendant, l’Univers est de plus en plus froid, ce qui veut dire, conformément aux lois de l’enthalpie, qu’il « absorbe » une température négative.
    Nous savons également qu’il y a une limite à la température, c’est le zéro Kelvin, définit comme le point d’intersection de l’enthalpie et de l’entropie, point que l’on ne peut atteindre qu’asymptotiquement. Dans l’Univers la température la plus basse est de -270°Celsius. Dans un collisionneur en réalisant le vide le plus poussé possible, on ne s’approche toujours que de quelques milliardièmes de degrés de cette température.

    Cela montre que ce que l’on appelle le vide, ou l’espace, possède une structure, non pas faite de particules, mais d’énergies, les énergies étant équivalentes à des masses : (e=mc²)
    Rajoutons que dans l’espace la lumière possède une vitesse constante, ce qui non plus n’est certainement pas l’effet du hasard. Et nous savons quelle est sa vitesse : Celle-ci correspond à une longueur de Planck (en gros 10 puissance moins 33 centimètres, pendant un temps de Planck, en gros 2×10 puissance moins 43 secondes.
    C’est ce qui permet de définir les quanta découverts par Planck.
    Alors supposons que ces quanta soient stationnaires et vibrants, et qu’ils puissent propager les photons !
    Le maillage de quanta stationnaires et vibrants, procurera une température au moment où les dilatations de quanta les fera se heurter. Ce sera le zéro degré Kelvin.
    Les photons pouvant les traverser et étant impulsés par leurs parois, auront la vitesse de la lumière.
    C’est l’espace dans lequel nous vivons et qui est absorbé par l’Univers en expansion. !!!
    Cette structure de l’Univers permet de comprendre le Big bang : Il suffit de la défaillance d’un quantum pendant une rétraction pour provoquer une implosion de l’espace environnant. A la reprise de la dilatation (Dans la continuité des vibrations), il y aura explosion. implosion plus explosion, c’est ce que l’on appelle le Big bang qui va générer l’Univers.
    Bien sûr la réalité, quantique, est plus complexe, mais il faudrait plus de place et de temps que dans le lieu réservé à un commentaire pour l’exposer.

    Tout cela vient d’être relaté dans un livre qui vient d’être édité et qui s’appelle « La naissance de l’Univers, et si c’était aussi simple ». L’éditeur est « Les presses du midi ».
    L’auteur est Gérard Blanvillain.

    Ce livre ne traite pas que du Big bang. Il décrit la naissance et la nature des particules et des ondes. Il explique l’expansion accélérée de l’Univers et la forme de ce dernier. Et bien d’autres choses, la gravitation quantique et les ondes gravitationnelles, ainsi que les trous noirs, et ce que l’on appelle la matière noire…

    Il est possible de voir une courte présentation de ce livre sur YouTube. Librairie numérique de Monaco. Puis en cliquant sur « vidéos »

  21. Salut David et amis lecteurs,

    Dans l’hypothèse d’un univers à courbure nulle, l’univers est infini et l’a toujours été même au moment du big bang. Il n’est pas tout à fait propre de continuer à parler de singularité initiale du coup, non ?

    Il existe clairement deux types d’infini un dénombrable et un autre indenombrable comme l’ensemble des rééls par exemple.

    Disons qu’il y a un petit infini et un grand.

    Quand nous parlons d’univers infini c’est bien au sens infini dénombrable, donc « petit infini » puisque la matière est apparement discrète, non ?
    Juste pour savoir si tu pouvais confirmer ou infirmer le fait qu’il y ait consensus la dessus…?
    Merci

  22. Pingback: La forme de l’univers : Une quantité finie de réflexions sur l’Infini | Quo

  23. Pingback: La gravité quantique à boucles — Science étonnante #33 | Alternatival

  24. Bonjour David:
    Le plus gros problème de toutes tes explications, c’est le big bang qui est complètement faux sauf ses prédictions ; nucléosynthèse, fond cosmologique et expansion).
    Nous ne sommes pas dans un univers en expansion mais dans une mégastruture en expansion que j’appelle îlot.
    Un îlot contient 10 000 milliards galaxies et il y a des milliards d’îlots avec des méga-espaces interilots d’environ 10 milliards d’années lumière et qui agissent entre eux par gravitation (ce qui les accélèrent mutuellement entre eux SANS ENERGIE SOMBRE).
    Dès lors il n’y a plus :
    Ni d’univers courbé sur lui-même.
    Ni d’atome primitif (pas de temps et de masse de Planck).
    Ni de destin de l’univers puisque dans mon modèle l’univers est rangé avec Dieu… dans l’indécidable.
    Bonne continuation. Cordialement : Guy Patel.

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